mardi 10 décembre 2013

"IL FAUT OUBLIER POUR AVANCER"


s"alléger pour se sentir vivre
 

par Simon-Daniel Kipman, Psychiatre et Psychanalyste

Rayer des souvenirs de sa mémoire pour mieux aller de l’avant, c’est sans doute naïf mais sain. l’oubli a de multiples vertus.
Le passé pèse lourd. Bien trop lourd même d’après le psychiatre et psychanalyste Simon-Daniel Kipman. Alors que la société valorise la mémoire, collective et individuelle, lui réhabilite l’oubli. Dans son dernier livre, « L’Oubli et ses vertus », il explique pourquoi désencombrer notre mémoire libère notre pensée.

Vous dites que l’oubli est une fonction essentielle de l’image de soi. Pourquoi ?
Une femme qui passerait son temps devant la glace à rechercher la beauté de ses 20 ans se trouverait moche toute sa vie. Alors que, grâce à l’oubli, elle se regarde tous les matins avec étonnement, adapte son maquillage, et garde ainsi une bonne image d’elle-même, qu’elle ait 40 ou 90 ans. Si j’ai éprouvé le besoin de consacrer un livre à l’oubli, c’est que notre société surévalue le souvenir et la mémoire. Le poids du passé finit par peser trop lourd. Il faut s’en alléger. Pour le comprendre, pensez à ce qui se passerait si nous n’oubliions rien : ce serait l’enfer ! Pouvez-vous vous imaginer avec la capacité de mémoire d’un ordinateur ? Ça donnerait des choses aussi bêtes que : je suis en train de manger une purée et je pense à celle que j’ai mangée la semaine dernière, il y a deux ans, quand j’étais petit… On serait en permanence encombré. Ce serait une vie où l’on ne penserait plus, mais où l’on serait dans la répétition permanente. Ce serait la fin de l’innovation, la fin de la vie psychique, autrement dit la mort. Il s’agit donc de relativiser le souvenir et de revaloriser l’oubli, qui est de toute façon largement majoritaire puisqu’on oublie mille fois plus de choses qu’on ne s’en rappelle.

Au fond, de quoi a-t-on envie de s’alléger ?
Notre société nous pousse à accumuler de toutes les manières imaginables. Cela peut confiner à la folie. Certains encombrent tant leur maison qu’ils ne peuvent plus y pénétrer. Ce qui est pathogène, c’est le repli psychologique que cela implique. On conserve contre vents et marées, mais pour faire quoi ? Il faudrait s’alléger de tout ce que, après mûre réflexion, on n’a pas très fortement envie de garder. Encore faut-il s’être donné le temps de réfléchir à quoi on est réellement attaché. Or, la boulimie consumériste prend la place de la réflexion. C’est bien cette logique-là qu’il s’agit de renverser. Cela ne va pas de soi. Résister à une logique collective n’est jamais facile.

Qu’oublie-t-on principalement ?
Cela ne dépend pas de nous. On ne peut pas décider, par exemple, d’oublier tous les mots qui commencent par A. Notre subtile mécanique psychique rend les oublis sélectifs. On oublie parce qu’on ne peut pas faire autrement. On « choisit » inconsciemment de laisser certaines choses de côté. Ce tri est vital parce qu’il libère en nous de l’espace. Nous vivons enserrés dans un monde de règles, de lois et de procédures omniprésentes. C’est normal, il en faut. Mais cela ne pourrait fonctionner s’il n’y avait, au milieu de cet arsenal, une plage de liberté. L’oubli relatif des règles est une nécessité, il desserre l’étreinte de la répétition. Grâce à lui, nous découvrons tous les jours un monde nouveau, retrouvons chaque matin, sinon l’innocence de l’enfant, du moins la disponibilité de l’adulte doté d’une liberté de penser.

Selon vous, l’oubli est toujours involontaire. On ne peut pas se forcer à oublier ?
Non, l’oubli est inconscient et involontaire. Il est lié à une passionnante caractéristique de la mémorisation : le souvenir est une liaison entre un fait sensoriel et une émotion. Nous nous souvenons de ce qui nous a émus. Évidemment, seul le rappel des émotions négatives pèse dans notre mémoire, c’est d’elles que nous cherchons à nous libérer. Cela ne va pas de soi, mais il ne sert à rien de s’escrimer à vouloir oublier une mauvaise expérience.

S’alléger d’un drame demande du temps…
Oui. Parce qu’un deuil n’est pas un oubli, c’est d’abord une transformation. C’est en y repensant que celle-ci s’effectue. L’oubli qui va se faire est celui du traumatisme en tant que tel. Il se transformera en un souvenir plus ou moins agréable. Le temps est essentiel. Prenons un autre exemple : une histoire d’amour qui s’arrête et qui fait souffrir. Il serait vain de se forcer à l’oublier. Il faut au contraire plonger dedans, en parler, se refaire l’histoire, s’en remémorer les souvenirs bons ou mauvais, bref revivre cette histoire le plus intensément possible pour pouvoir peu à peu s’en alléger. Bien sûr, on peut toujours tâcher de se distraire ; mais pour vraiment l’oublier, il faut avoir revécu l’histoire. En un sens, c’est l’inverse du refoulement.

Mais le refoulement n’est-il pas un faux oubli, une infection souterraine qui pourra ressortir un jour autrement, par exemple sous forme d’une somatisation pathologique ?
Non, le refoulement n’est pas du tout un faux oubli. Mais oui, il va ressortir sous une forme 
quelconque : phobies, manies, somatisations, pathologies diverses… D’ailleurs, si le psy cherche à lutter contre le refoulement, c’est bien parce qu’il produit des signes gênants. Quand il y a refoulement, il y a bel et bien engloutissement d’un événement dans l’oubli – même si tous les oublis ne sont pas des refoulements.

Alors comment oublier de façon non pathologique ?
On reste léger quand on a des projets, aussi utopiques soient-ils. J’ai un copain de 80 ans qui m’en donne la démonstration régulière. Il s’est récemment inscrit à un casting de théâtre et a passé l’audition, alors qu’il n’avait jamais mis les pieds sur les planches. Il a également entrepris d’apprendre à danser. Dernièrement, il a eu l’idée d’un concept de jeu à la télévision, qu’il a envoyée aux chaînes. Il déborde toujours de projets farfelus… et il a raison. Pour rester léger, il faut surtout faire ce que l’on aime. Quel rapport avec l’allègement ? Tous les révolutionnaires le disent : « Du passé faisons table rase ! »  C’est sans doute naïf, mais sain. Il faut commencer par s’alléger et par oublier un peu, avant de pouvoir fabriquer une utopie qui nous propulsera en avant.


Il y a donc une façon volontaire d’alléger sa vie ?
Cela dépend surtout de la façon dont on vit les choses. Prenez l’exemple de « vider ses placards » : si c’est une corvée, ça n’a pas beaucoup d’intérêt. Par contre, si c’est l’occasion de retrouver avec plaisir de vieux objets, des lettres, un pull, des jouets oubliés dont on va balancer les trois quarts pour ne conserver que ce à quoi l’on tient, on ne sera sans doute pas dans le gain de temps, mais dans la liberté d’engagement. Quand les choses sont répétitives et prisonnières du passé, qu’on est conservateur, indéfectiblement attaché à ses 20 ans, se rappelant tous les jours à quel point le monde était mieux avant, aucun allègement n’est possible. Si, au contraire, comme le pensait Freud, on regarde la situation telle qu’elle est ici et maintenant, et qu’on se dit : « Soyons disponibles à la surprise, il va m’arriver quelque chose et cela va me mettre en joie », alors oui, il est pensable de s’alléger.

Cet article est extrait du Focus "S'alléger pour se sentir vivre" à retrouver dans le numéro d'octobre-novembre de CLES



http://www.cles.com/enquetes/article/il-faut-oublier-pour-avancer


Simon-Daniel Kipman est psychiatre, psychanalyste, président-fondateur de la Fédération française de psychiatrie et président de l'Observatoire francophone de la médecine de la personne fondé en 2013.
Ancien rédacteur en chef de la Revue française de psychiatrie, Simon-Daniel Kipman a récemment publié Manifeste pour une psychiatrie de la personne - Doin (2009) et De l'usage des passions, aspects psychiques des passions individuelles et collectives - Doin (2011).

Simon-Daniel Kipman, pourL'oubli et ses vertus, fait partie des cinq titres sélectionnés pour le prix Psychologies Magazine/FNAC 2014.



Dernières parutions  

L'Oubli et ses vertus (2013)

À l’heure où l’on ne parle que de mémoire, collective ou individuelle, de remémoration et de célébration, quelles sont les forces positives de vie, de lien, de contact, propres à l’oubli ?
Le psychiatre et psychanalyste Simon-Daniel Kipman interroge la signification de nos oublis : que nous montrent-ils et que nous cachent-ils ? Que découvrons-nous à force de chercher des mots insaisissables, des instants dont le souvenir s’est évanoui ?
Indice précieux et indispensable, il prend sens dès lors qu’il est décrypté dans sa forme ou dans sa fonction, prend sens. Aussi est-il essentiel de le déceler, tant pour comprendre son fonctionnement psychique que pour améliorer nos méthodes thérapeutiques.
De la petite enfance au deuil, ce livre passionnant, qui aborde également le culte de la mémoire et de la remémoration systématique, est un éloge de l’oubli dans sa fonction vitale : force positive qui permet de désencombrer l’esprit du trop plein de souvenirs, il nous ouvre une porte sur l’avenir.
Mais, plus encore, l’oubli est un mécanisme psychique constant et massif. Il nous empêche d’encombrer notre mémoire forcément limitée, libère la pensée, favorise l’innovation et stimule la curiosité.

"LES CHAMPS QUANTIQUES INFORMATIONNELS :SUBSTRATS DE L'UNIVERS?"


La majorité des hommes vit dans l'illusion que seul le monde physique existe... car selon eux, tout ce qui n'est pas visible et démontrable relève du domaine de l'imaginaire. Or, plus la physique quantique explore la matière, plus l'on s'aperçoit que notre monde matériel et physique est bâti :

1/sur le vide : l'univers et l'atome sont constitués à 99,99% de vide qui structure les espaces pleins représentés par 0,01%

2/ sur des champs psychiques informationnels qui sont, au niveau quantique, des structures dynamiques formant une trame sous-jacente à notre continuum espace/temps et qui gèrent la matière physique.

3/ sur son interconnexion avec des dimensions parallèles qui fonctionnent dans une densité quantique et gravitationnelle différente et qui contiennent également une organisation vivante de la matière biologique et/ou non-biologique aussi réelle que notre dimension 3D.

Notre difficulté à admettre ces champs subtils d’information provient du fait que nous n'y sommes pas préparés. On nous a appris à penser à l'envers et pas à l'endroit. On nous a appris que le monde est avant tout fait de matière, et c'est FAUX ! le monde est d'abord fait de vide et d'information énergétique organisée... et ça, ça change tout !

ça change fondamentalement notre approche de la condition humaine, ça change notre approche des structures sociales, politiques, économiques ! ça change l'approche de notre corps, de notre esprit, de notre fonctionnement intellectuel et émotionnel !

Notre éducation, notre formatage intel­lectuel nous persuade que dans notre monde physique tout est séparé : le monde minéral, le monde végétal et le monde animal ne seraient que des couches biologiques sans conscience ni interaction, nos maux et maladies ne seraient pas liés à la basse fréquence de nos pensées, ni à nos problèmes psychologiques !

Nos comportements humains n'auraient aucun impact sur le conscient et l'inconscient collectifs, ni sur le formatage de notre ADN, ni sur nos voisins de vie, etc...

Vous êtes persuadé que l’univers est bien un ensemble mais tout y est séparé, vous séparez les champs de force, vous séparez les interactions, également les plans d'exis­tence, vous vous créez de fait une perception frag­mentée du monde, cela signifie que vous n’en per­cevez pas le sens global, vous n’y voyez que divi­sions et subdivisions.

Or notre connaissance du monde ayant évoluée, notre point de vue fractionné repose désormais sur des cadres de pensée erronés et très incomplets.
interaction des champs H1H2H3 selon Emile Pinel (réactualisé par Jacqueline Bousquet)

interaction des champs H1H2H3 selon Emile Pinel (réactualisé par Jacqueline Bousquet)

Petit rappel du principe de la Physique Quantique :

A l’intérieur de l’atome, donc à l’échelle subato­mique, DONC A L’INTÉRIEUR DE NOTRE CORPS, DONC TOUT AUTOUR DE NOUS, la matière est également de l’énergie et de l'information qui se déplace d’une manière discontinue, par paquets ou quantas ; selon le physicien Brian Greene "c’est un monde d’agitation frénétique où règnent l’impermanence et la création sans re­lâche de millions de combinaisons entre particules."

Une particule de matière se comporte d’une manière apparemment aléatoire à la fois comme une particule et à la fois comme une onde.

En d’autres termes, pour chaque particule physique de matière, il existe la possibilité d’une particule d'énergie en même temps dans une autre dimension parallèle. A l’état quantique, la particule existe donc dans 2 lieux et 2 états différents en même temps et ces deux états communiquent instantanément par des trous de ver. Cet état d’intrication est la base de la physique des quan­tas inventée par Niels Bohr et Max Planck au début du 20ème siècle.

    - La matière stable s'arrête au niveau de la particule... au niveau subparticulaire elle n'existe pas avec certitude, nous sommes dans un domaine invisible et pourtant bien réel, un domaine d'agitation frénétique et aléatoire d'énergies complexes qui fonctionnent au-delà de la vitesse de la lumière.

    - La matière au niveau quantique existe dans 2 états à la fois et en même temps : particule et onde sont intriquées, elle existe donc dans 2 lieux et 2 états différents en même temps en communiquant instantanément par des trous de ver à des vitesses supraluminiques. Cette intrication définit l'état quantique. Les quantas sont des ondes de probabilités d'existence de matière qui constituent les quarks qui constituent les particules qui constituent le noyau atomique.

    - Comme le dit si élégamment le Dr Xavier Emmanuelli : AU FOND DE LA MATIERE, IL Y A L'ENERGIE, AU FOND DE L'ENERGIE IL Y A DE L'INFORMATION ORGANISEE... sous la forme d'un champ informationnel quantique structuré à la définition très proche d'un champ de conscience...

 

Vous admettez bien les technologies issues de la gravitation, de l’électromagnétisme et de la phy­sique quantique mais tous ces champs de force s’appliquent aussi au vivant et notamment à notre psyché. La physique quantique introduit la notion d'influence psychique sur la matière, notamment dans la fameuse expérience théorique du chat de Schrodinger (1937).

Métaphysique quantique appliquée : intention de la pensée, effet non-local instantané. Pourquoi vous n'auriez pas une pensée d'amour et une émotion d'amour à la place de la peur et de la haine ? Usez de cette formule qui utilise le champ quantique informationnel : une pensée d'amour universel et une émotion d'amour envers vous-même, ça marche pour nous calmer et nous adoucir, ça marche pour nous éviter de tomber dans un enfer personnel.

Le vide est incroyablement sa­turé de forces infor­mationnelles non visibles, et pourtant agissantes.

Ces champs quantiques information­nels non visibles contiennent au minimum de l’information gravitationnelle et des constantes universelles qui s’échangent en de­hors de l’espace-temps (principe supraluminique et non-local) via les trous de ver ; ils incluent aussi beau­coup d’autres paramètres mathématiques liés aux mémoires du vivant biologique, à la création de concepts, d'évènements et de matière pour former un champ unifié de conscience. Voir à ce propos les recherches de la neuro-anatomiste Jill Bolte Taylor.

Ce champ de conscience au niveau quantique est également mis en évidence lors des dizaines de milliers de cas de NDE (états de Mort Imminente) confirmés par les nombreuses études médicales, ces états de mort temporaire montrent la continuité de la conscience humaine malgré la mort clinique qui peut durer de 5 min à plusieurs heures.
Depuis des décennies, des physiciens, des biologistes comme :
Fritjof Capra, David Bohm, Bernard d'Espagnat, Basil Hiley, John S. Bell, Olivier Costa de Beauregard, Nicola Tesla, Nassim Haramein, Karl Pribram, Roger Penrose, Brian Josephson, Jacques Benveniste, Rupert Sheldrake, Emile Pinel...
soutiennent la thèse désormais très largement admise de la non-séparabilité de l'univers donc de son unicité fonctionnant selon un Champ de conscience informationnel au niveau quantique gérant l'ensemble de toutes les dimensions spatio-temporelles selon des paramètres mathématiques, harmoniques et luminiques.
 

Les Champs informationnels selon Emile Pinel

La biologiste Jacqueline Bousquet rappelle que le mathématicien, médecin et biologiste Emile Pinel, qui a inventé la chronobiologie moderne, a déterminé 3 types de champs informationnels : H1, H2, H3. Ou plutôt : H2→H3↔H1 qui se combinent pour donner le champ unitaire H.

- H2 est le champ d’ondes psy immatériel, invisible mais structurant qu'on peut définir comme un champ de conscience qui existe préalablement à la matière car la physique quantique montre comment la matière est constituée avant tout d'énergie informationnelle organisée (théories des supercordes et de l'univers interconnecté).

- H3 un champ psycho-physico-biologique qui est la résultante de l’action des 2 autres champs, c’est le champ de la réalité subtile éthérique, des réseaux énergétiques organisés au niveau supramental.

- H1 est le champ matériel fonctionnant uniquement dans notre Espace/Temps, principalement défini par la matière atomique ordinaire et ses champs de force. C’est le corps physique, les comportements et les schémas transgénérationnels.

Avec d'autres physiciens, le philosophe des sciences Ervin Laszlo donne une nouvelle direction à la recherche fondamentale en physique : le paradigme quantique fait apparaitre l'émergence d'une nouvelle physique, une physique des champs informationnels, liée à un substrat organisé de matière informationnelle psychique (champ de psyché ou champ supramental) qui structure, entre autres, notre matière physique ordinaire dans notre dimension espace/temps à 4 dimensions...et dans d'autres dimensions.

La recherche fondamentale de la physique de l'information issue de la physique quantique se dirige vers l'exploration d'autres continuum espace/temps, d'autres types de matières liées à une gravitation moindre, d'états organisés de matière moins dense, une exploration vers les dimensions repliées des cordes, une exploration vers la géométrie quantique basée sur les tétraèdres qui structurent le vide.

Plus qu'un champ unifié, l'univers est un tissage d'informations mathématiques et géométriques, cette nouvelle approche de la physique quantique confirme étonnamment la validité du tantrisme (philosophie/science pratique et opérative issue du yoga). Le tantra se définit comme un processus continu de tissage, d'interconnexions d'informations qui s'influencent les unes les autres pour dérouler/étirer un tapis multidimensionnel de Conscience/Connaissance essence de toute réalité. De nombreux physiciens dont Nassim Haramein et Philippe Guillemant travaillent dans cette direction.

Didier Luccan, auteur de "Vers la Sagesse Quantique" aux éditions Bussière